J'ai coutume de consacrer les jours de fêtes nationales au
recueillement et à la méditation en hommage et en souvenir
de mes compagnons tombés à mes côtés.
A l'époque je n'avais guère plus de vingt ans et c'était l'âge de mes compagnons.
Avec un courage exceptionnel ils ont sacrifié leurs vies pour un idéal élevé.
Je pense à chacun d'entre eux et tant qu'il y aura des hommes de leur valeur :
La France sera la France.